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Echinopsis oxygona


Graham Charles présente Echinopis oxygona, un cactus souvent donné aux enfants. C’est une fort jolie plante facile à faire pousser et qui ne devrait pas être dédaignée pour autant.


Cet article a originellement été publié en anglais dans la revue en ligne The Cactus Explorer Numéro 8, Mai 2013.

Merci à Graham Charles pour son autorisation de traduction et de publication sur le Cactus Francophone.
Photographies de l'auteur.


Un ami de mes parents me donna mes premières boutures de cactus et de succulentes. J'avais 12 ans et mon père qui était un amoureux de jardins encouragea mon intérêt pour les plantes. Parmi ces premières boutures il y avait le rejet d'une grosse touffe d'Echinospis oxygona, bien qu'à l'époque il était appelé Echinopsis eyriesii.

Cet Echinopsis est souvent cultivé sur des rebords de fenêtre où il produit quantité de rejets mais fleurit rarement. Les rejets ont un aspect différent de la plante mère, racinent facilement et font rapidement des rejets à leur tour. Il a été suggéré que la reproduction répétée par rejets tend à donner des plantes qui rejettent de plus en plus facilement. Je pense que plus vraisemblablement certains clones sont plus prolifiques et ce sont eux qui sont propagés végétativement.

J'ai cultivé divers clones collectés dans leur habitat au sud du Brésil. Ils rejettent peu et fleurissent facilement dès qu'ils ont atteint une taille suffisante. La spination très variable de ces plantes est à l'origine de divers noms pour cette espèce. Les fleurs varient en taille et en couleur, pouvant aller du blanc à un joli rose pâle.

D'après les règles de la botanique, le plus vieux nom est celui qui doit être utilisé. Il en a été donné de nombreux à cette plante, et les premiers candidats pour être les plus vieux sont Echinopsis eyriesii, E. multiplex, E. oxygona et E. tubiflora.

Echinocactus Eyriesii Turpin

Fig. 1 : image Lectotype d'Echinocactus Eyriesii de la première description par Turpin (1830). Fig. 2 : Echinocactus Eyriesii illustré planche 3411 du Curtis’s Botanical Magazine (1835). Fig.3 : Echinocactus Eyriesii. Planche 1707 de l'Edwards’s Botanical Register vol. VII (1835).
Image Lectotype d'Echinocactus Eyriesii de la première description par Turpin (1830) Echinocactus Eyriesii illustré Planche 3411 dans le Curtis’s Botanical Magazine (1835) Echinocactus Eyriesii. Planche 1707 dans l'Edwards’s Botanical Register Vol. VII (1835)


La première description apparue dans les 'Annales de l’Institut Horticole de Fromont' et plus tard dans 'Observations sur La Famille des Cactées', tous les deux publiés en 1830. L'espèce a été nommée d'après M. Alexandre Eyries du Havre. Celui-ci affirmait que ses deux plantes venaient de Buenos Ayres, un capitaine français les lui ayant rapporté de là-bas en 1827.

Buenos Aires était un port majeur de la région, et souvent le port d'embarcation était donné comme la localité d'origine de la plante plutôt que son réel habitat, qui était rarement connu avec précision.

Echinocactus Eyriesii1) est probablement originaire du sud du Brésil ou du nord-est de l'Argentine. Turpin mentionne qu'il a vu la description d'Echinocactus oxygonus et il le dit parent de son E. Eyriesii mais différant en de nombreux aspects, dont les épines plus longues et les fleurs plutôt roses que blanches. L'illustration de Turpin [fig. 1] montre les épines courtes qui sont toujours associées à ce nom. Cette mention, de fait, signifie qu'E. oxygona a été publié plus tôt.

E. Eyriesii fleurit à Kew en 1835 et est illustré dans le 'Curtis’s Botanical Magazine' la même année [fig. 2]. Le texte nous dit : “Le dessin de ce charmant Echinocactus, pas moins remarquable par la grande taille de sa fleur que par sa délicieuse fragrance, a été réalisé par M. Henry Curtis, le plus jeune fils du chef d'orchestre de ce travail, dans la collection duquel il fleurit en janvier 1835 à Glazenwood. Sa noble fleur, comme celle de Cereus grandiflorus, semble s'ouvrir seulement la nuit. C'est un natif du Mexique2) qui a été introduit à la Société d'Horticulture, selon le Dr Lindley, quelques années plus tôt par Sir John Lubock3).

Fig. 4 : Echinocactus Eyriesii. Planche 47 de la Flora Brasiliensis, vol. IV pars II. (1890). Fig. 5 : Echinocactus eyriesii (var glauca). Planche 31 de l'Edwards’s Botanical Register, vol. 24 (1838). Fig. 6 : Echinocactus oxygonus Link. Illustration accompagnant la première description en 1830. Désignée comme le lectotype du nom.
Echinocactus Eyriesii. Planche 47 de la Flora Brasiliensis Vol. IV Pars II. (1890) Echinocactus eyriesii (var glauca) Planche 31 dans l'Edwards’s Botanical Register Vol. 24 (1838) Echinocactus oxygonus Link, l'illustration qui accompagnait la première description en 1830. Désignée comme le lectotype du nom


La plante a été représentée dans l' 'Edwards’s Botanical Register' la même année, à la planche 1707 [fig. 3]. Comme les autres illustrations, elle montre la plante à épines courtes avec des fleurs blanches qui est encore associée au nom d'E. eyriesii. Une autre belle illustration a été publiée dans le même journal en 1838, cette fois d'une variété appelée E. eyriesii var. glauca [fig. 5]. Son nom commun en anglais pouvant se traduire par le “cactus porc-épic glauque et doucement parfumé” fait référence à ses fleurs parfumées caractéristiques.

En 1890, Schumann publia son étude des cactus brésiliens dans 'Flora Brasiliensis'. En même temps qu'une planche d'Echinopsis eyriesii [fig. 4], il y inclut une clé de cinq Echinopsis, tous venant du sud du brésil d'après lui. Il sépara les espèces par des différences mineures dans la spination et les fleurs.


Echinopsis oxygona AH81


Addendum

Cette illustration n'existait pas dans l'article original. L'auteur nous a proposé de la rajouter lorsque nous lui avons demandé l'autorisation de publication de la traduction en français de son article.



Jacques, dans 'Annales de flore et de pomone', p178, 1834 écrit à propos d'Echinocactus eyriesii : “Cette plante a de grands rapports avec l'Echinocactus oxigonus, Linck….”. Même si l'auteur y voit des “différences sensibles” dans l'aspect, le nombre de côte et les épines. Il précise : “les fleurs des deux plantes sont absolument de la même forme et couleur.
Et il ajoute : “Ces deux espèces ont donné leurs fleurs à la fin d'août ; elles étaient en plein air depuis le mois de mai; ces fleurs n'ont duré que vingt-quatre heures, quoique ayant été mises dans l'appartement : elles se sont ouvertes vers sept heures du soir, et le lendemain à la même heure, elles étaient complètement fermées. Il est malheureux que d'aussi jolies fleurs ne durent pas plus de temps : leur odeur est douce et agréable. Les graines ayant été seméees aussitôt leur maturité, ont levé au bout de vingt-quatre à trente jours.”

Fig.7 Echinocactus oxygonus. Planche 1717 tirée de l'Edwards’s Botanical Register Vol. VII (1835). Fig.8 Echinocactus oxygonus tiré du Curtis’s Botanical Magazine Planche 4162 (1845). Fig.9 Echinopsis oxygona. Tiré de L. Abbildung und Beschreibung Blühender Cacteen, de Pfeiffer, Vol. 2, Planche 4 (1845).
Fig.7 Echinocactus oxygonus. Planche 1717 tirée de l'Edwards’s Botanical Register Vol. VII (1835) Fig.8 Echinocactus oxygonus tiré du Curtis’s Botanical Magazine Planche 4162 (1845) Fig.9 Echinopsis oxygona. Tiré de Pfeiffer, L. Abbildung und Beschreibung Blühender Cacteen, Vol. 2, Planche 4 (1845)


La première description est parue dans 'Transactions of the Prussian Horticultural Society : Verhandlungen des Vereins zur Beförderung des Gartenbaues in den Königlich Preussischen Staaten' 6: 419. (1830) avec une belle illustration [fig. 6]. La plante y est dite venir du sud du Brésil, par l'intermédiaire de M. Sells. Le nom oxygona dérive du grec “oxys” signifiant “aigu” et “gonia” signifiant “angle” ou “coin”, et fait référence aux côtes étroites.

Cette dernière planche et la suivante parue dans l''Edwards’s Botanical Register' de 1835 [fig. 7] montre que la plante a des épines plus longues qu'Echinopsis eyriesii et une fleur rose plutôt que blanche.

La représentation dans 'Abbildung und Beschreibung Blü̈hender Cacteen' de Pfeiffer, vol. 2, planche 4 de 1845 [fig. 9] montre une plante similaire, comme la spectaculaire illustration de 1845 dans le 'Curtis’s Botanical Magazine', planche 4162 [fig. 8].

Echinocactus multiplex (Pfeiffer) Pfeiffer & Otto

D'abord décrit comme Cereus multiplex par Pfeiffer dans son 'Enumeratio Diagnostica Cactearum Hucusque Cognitarum' (1837), la plante a été ensuite transférée dans Echinopsis par le même Pfeiffer et Otto dans leur splendide 'Abbildung und Bescheibung Blühender Cacteen' vol. 1 (1838). La combinaison était accompagnée d'une excellente illustration [fig. 10]

Fig. 10 : Echinopsis multiplex tiré de Pfeiffer & Otto Abbildung und Beschreibung Blühender Cacteen, vol. 1, planche 4 (1838). Fig. 12 : Planche VI du volume 3 de 'The Cactaceae', Britton & Rose (1922) avec Echinopsis multiplex à droite et E. turbinata à gauche. Fig. 14 : Echinopsis turbinata tiré de Pfeiffer Abbildung und Beschreibung Blühender Cacteen, vol. 2, planche 7 (1846).
Fig.10 Echinopsis multiplex tiré de Pfeiffer & Otto Abbildung und Beschreibung Blühender Cacteen, Vol. 1 Planche 4 (1838). Fig.12 Planche VI du volume 3 de 'The Cactaceae', Britton & Rose (1922) avec Echinopsis multiplex à droite et E. turbinata à gauche Fig.14 Echinopsis turbinata tiré de Pfeiffer Abbildung und Beschreibung Blühender Cacteen, Vol. 2 Planche 7 (1846).


Cette plante a été plus tard illustrée dans le 'Curtis’s Botanical Magazine', planche 3789 en 1840 [fig. 11] en utilisant son nom de genre originel : Cereus.

Le dessin a été fait par Mrs. Stannard à partir d'une plante fleurie dans la collection de M. Mackie de Norwich.

L'illustration publiée dans 'The Cactaceae' (1922) par Britton and Rose [fig. 12] est de nouveau similaire et les auteurs concluent qu'Echinopsis multiplex ne peut pas être distingué 4) d'Echinopsis oxygona. Leur clé différencie ces noms par la couleur de la fleur et la spination.

Autres plantes similaires

Il y a d'autres noms publiés plus tard pour des plantes ayant des caractéristiques similaires et étant supposées être originaires de la même région d'Amérique du Sud :

  • Echinopsis gemmata (Zuccarini ex. Pfeiffer) Schumann. Décrit en 1837.
  • Echinopsis tubiflora (Pfeiffer) Dietrich. Décrit en 1837.
  • Echinopsis turbinata (Pfeiffer) Pfeiffer & Otto. Décrit en 1835.
Fig. 11 : Cereus multiplex Planche 3789 dans le 'Curtis’s Botanical Magazine' (1840). Fig.13 : Echinocactus tubiflorus, planche 3627 dans le 'Curtis’s Botanical Magazine' (1838) designé comme neotype du nom.
Fig.11 Cereus multiplex Planche 3789 dans le 'Curtis’s Botanical Magazine' (1840). Fig.13 Echinocactus tubiflorus Planche 3627 dasn le Curtis’s Botanical Magazine(1838) designé comme neotype du nom.

Discussion

Même s'il est généralement accepté que tous ces noms sont synonymes, quelles sont les preuves et quel est le premier nom ? E. eyriesii et E. oxygona ont été décrit la même année, en 1830, avant tous les autres noms. Aussi, un de ces deux là est celui qui doit être utilisé. Le fait que Turpin, dans sa description d' E. eyriesii, mentionne qu'il a lu la description d'E. oxygona suggère fortement qu'il n'était pas le premier à décrire cette plante. D'autres preuves sont données par Taylor dans le 'Cactaceae Systematics Initiatives' (CSI) en 2005 où il dit que Hooker avait annoté sa copie de la publication d'E. oxygona d'un “VI” indiquant qu'il l'avait reçu en, ou avant, juin 1830, un mois avant la publication d'E. eyriesii.

Donc le nom correct à utiliser est Echinopsis oxygona. Il peut être appliqué à toutes les formes de cette espèce variable, incluant les fleurs roses ou blanches aussi bien que les différentes longueurs d'épines. Il est compréhensible qu'autant de noms aient été créés pour cette plante. Elle a dû faire sensation quand elle a fleuri pour la première fois en culture en Europe. Ses énormes fleurs, belles et parfumées, produites par de relativement petites plantes rondes étaient faites pour impressionner les gens qui les voyaient. Son impact sur l'horticulture est reflété par le nombre d'illustrations qui ont été publiées au 19e siècle.

Fig. 19 : Echinopsis oxygona GC777.02, NE de Dom Pedrito, Rio Grande do Sul, Brésil. Forme à courtes épines décrite comme E. eyriesii. Même localité que Fig.17. Fig. 23 : Echinopsis oxygona LB251, de Paso de los Libres à Mercedes, Corrientes, Argentine.
Fig.19 Echinopsis oxygona GC777.02, NE de Dom Pedrito, Rio Grande do Sul, Brésil. la forme à courte épine décrite comme E. eyriesii. Même localité que Fig.17 Fig.23 Echinopsis oxygona LB251, de Paso de los Libres à Mercedes, Corrientes, Argentine


J'ai vu E. oxygona dans la nature dans le Rio Grande Do Sul, au Brésil en 2005. J'ai rencontré cette espèce dans différentes localités et chaque fois elle exhibait une spination variée, incluant la forme à très courtes épines que l'on connaît comme E. eyriesii [fig. 16 & 19]. Je n'ai pas vu la couleur des fleurs dans la nature, mais une plante à courtes épines portant le numéro GC754.01 a fleuri rose en culture [fig. 20].

Fig. 15 : Echinopsis oxygona GC754.01 dans une région boisée près de Gruta do Segredo, Rio Grande do Sul, Brésil à 150 m. Fig. 16 : Echinopsis oxygona à la même localité que la plante de la Fig. 15. GC754.01 près de Gruta do Segredo, Rio Grande do Sul, Brésil à 150 m. Forme à courtes épines décrite comme E. eyriesii.
Fig.15 Echinopsis oxygona GC754.01 dans une région boisée près de Gruta do Segredo, Rio Grande do Sul, Brésil à 150m Fig.16 Echinopsis oxygona à la même localité que la plante de la Fig.15. GC754.01 près de Gruta do Segredo, Rio
Grande do Sul, Brésil à 150m. la forme à courtes épines décrite comme E. eyriesii


Echinopsis oxygona a une large distribution au Paraguay, en Argentine, au Brésil et en Uruguay. Les plantes du Paraguay ont été appelées Echinopsis adolfofriedrichii en 1982 par Moser. Il l'a comparé avec E. chacoana, une autre espèce trouvée au Paraguay, mais elle est maintenant considérée comme parente de E. rhodacantha, une lignée différente d'E. oxygona. Toutes les plantes d'E. oxygona que j'ai cultivé à partir de graines collectées dans le nord-est de l'Argentine ont un corps plus sombre et des fleurs blanches.

Fig. 17 : Echinopsis oxygona à la localité GC777, nord-est de Dom Pedrito, Rio Grande do Sul, Brésil, à 245 m. Il pousse avec Notocactus arnostianus. Notez la plante à courtes épines à gauche qui correspond à la description de E. eyriesii. Toutes les autres plantes ont des épines longues, comme la description de E. oxygona. Fig. 18 : Echinopsis oxygona GC777.02, NE de Dom Pedrito, Rio Grande do Sul, Brésil, à 245 m. Forme avec de très courtes épines. Même localité que fig.17.
Fig.17 Echinopsis oxygona à la localité GC777, nord-est de Dom Pedrito, Rio Grande do Sul, Brésil à 245m. Il pousse avec Notocactus arnostianus. Notez la plante à courtes épines à gauche qui correspond à la description de E. eyriesii. Toutes les autres plantes ont des épines longues, comme la description de E. oxygona Fig.18 Echinopsis oxygona GC777.02, NE de Dom Pedrito, Rio Grande do Sul, Brésil à 245m. Une forme avec de très courtes épines. Même localité que fig.17

Culture

Il est bien connu que ces plantes sont parmi les plus faciles de tous les cactus à faire pousser. Elles sont souvent utilisées comme porte-greffe pour des semis. Elles sont faciles à propager à partir de rejet qui racinent facilement et poussent rapidement si on leur donne suffisamment d'espace et d'eau.

Elles fleurissent pendant tout l'été si elles sont bien arrosées et produisent un magnifique spectacle. Pourquoi ne sont-elles pas plus populaires ?

Fig. 20 : Echinopsis oxygona GC754.01, Gruta do Segredo, Rio Grande do Sul, Brésil à 150 m. Fig. 21 : Echinopsis oxygona (adolphofriedrichii) LB85, nord de Caapucu, Paraguari, Paraguay. Fig. 22 : Echinopsis oxygona AH68, sud de Caçapava do Sul, Rio Grande do Sul, Brésil. Fig. 25 : Echinopsis oxygona AH81, Ouest de Santana da Boa Vista, Rio Grande do Sul, Brésil
Echinopsis oxygona GC754.01 Echinopsis oxygona (adolphofriedrichii) LB85 Echinopsis oxygona AH68 Echinopsis oxygona AH81


Bibliographie

Moser, G. (1982) A new Species of Echinopsis from Paraguay. National Cactus and Succulent journal 37(2):39


Auteur : Graham Charles
Traduction : alain
Publié le : 2013/08/07

La version originale de cet article est consultable sur The Cactus Explorer Numéro 8, Mai 2013

COMMENTAIRES Vous pouvez commenter cet article ou lire les commentaires postés.

1)
NdT : A cette époque les noms d'espèce venant de nom propre prenaient une majuscule. Ce qui n'est plus le cas.
2)
NdT : Comme vu plus haut, à cette époque les localités d'origine était mal connues
3)
NdT : Un texte antérieur, de 1834 (dans The Horticultural Register, Volume 3), apporte une nuance : “Cette espèce a été présenté à la Société d'Horticulture il y a quelques années par Sir John Lubock. Il l'a obtenu au Mexique où le genre semble exister en grand nombre.” Le genre Echinocactus est effectivement présent au Mexique. L'E. eyriesii de Sir John était peut être une plante de culture.
4)
NdT : taxonomiquement